La Lucarne et le site web changent d’allure

La Lucarne et le site web changent d’allure

1 mars 2015

Louis Patenaude, président de l’APMAQ

Comme vous venez de le constater en prenant connaissance de ce numéro, La Lucarne a franchi une nouvelle étape du moins pour ce qui est de sa présentation visuelle. En fouillant dans les archives de l’APMAQ, il est intéressant de voir les différents visages qu’a pris notre revue au cours des décennies. Chaque fois, elle tente de se mettre au goût du jour tout en demeurant ce qu’elle doit être, c’est-à-dire un recueil d’informations et de textes pertinents en ce qui touche le patrimoine. Certains de ces écrits émanent de personnes dont la compétence en matière de sauvegarde est notoire alors que d’autres proviennent de passionnés qui, par intérêt personnel, ont acquis des connaissances précieuses qu’ils souhaitent partager avec nos lecteurs. Cette heureuse combinaison, loin d’être mise en cause, continuera de nous guider dans la composition de La Lucarne ; la nouvelle présentation ne vise qu’à rendre celle-ci plus attrayante. Simultanément, notre site passe également par une remise à neuf dont les résultats ne tarderont guère à être connus, s’ils ne le sont pas encore à ce jour.

DANS CES PAGES…

  • Comme annoncé dans la dernière Lucarne, l’APMAQ souligne cette année la fin de l’hiver par l’organisation d’une partie de sucre qui aura lieu à Saint-François-de l’Île-d’Orléans dans la magnifique propriété de Michel Gauthier. Ce sera l’occasion de nous familiariser avec les techniques traditionnelles de fabrication du sucre et des autres produits de l’érable. Au moment où on recevra cette Lucarne, il sera peut-être encore temps de s’inscrire à cette activité ; n’hésitez-pas, nous vous y attendons !
  • Les visites de l’été 2015 nous conduisent de nouveau en Beauce, à Vallée-Jonction, puis dans Lanaudière, à Saint-Esprit. On trouvera dans ces pages, des textes et des illustrations qui nous en donnent un avant-goût.
  • L’Hôtel-Dieu de Québec est devenu une préoccupation de premier plan du point de vue patrimonial (voir La Lucarne, été 2013, article de Serge Viau). À cette date, on ignore encore quel sort attend cette institution. Pour leur part, les Augustines qui y œuvrent depuis 1639, ont entrepris une restauration majeure de leur monastère. Marcel Barthe, président du Conseil de la Fiducie du patrimoine culturel des Augustines nous accompagne dans la découverte de ce projet.
  • Martine Laval nous raconte la restauration de la forge de Christieville (Morin Heights). Enfin, Austin Reed nous entretient des outils avec lesquels nos ancêtres ont construit ces maisons auxquelles nous sommes aujourd’hui si attachés.

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